En 1947, je quittai le village pour aller vivre
à Clermont et y poursuivre mes études. Cette absence ne me
coupa que très peu de mes racines. Je revenais souvent dans la maison
de mes grands-parents et j'y passais toutes mes vacances. En 1953, l'éloignement
devint plus important. Je partis travailler à Paris. Mes séjours
à Saint-Sandoux devinrent plus rares. Les congés annuels
étaient alors limités à quinze jours par an. Mes relations
avec le village s'espacèrent et je ne fus plus qu'un lointain témoin
de son évolution. Comme dans les pages précédentes,
ce sont mes impressions et mes souvenirs que je rapporte ici, mais ils
sont naturellement moins complets et moins précis.
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L'école
laïque en 1953 - Pour agrandir l'image, cliquez
ici
D'autres photos de l'école sont ici |
A cette époque, les tracteurs étaient
encore des objets de curiosité dans le village; ils allaient pourtant
bientôt remplacer la traction animale et le travail à bras.
Ils furent suivis d'appareils qui démultiplièrent la productivité
du travail humain: rotavators, pompes à sulfater automatiques, moissonneuses-batteuses,
machines à calibrer les pommes qui remplacèrent le triage
manuel d'antan... On portait jadis la sulfateuse sur le dos, on tira
désormais le tuyau dans les vignes! Tant que ces dernières
subsistèrent, on continua à bûcher dans les bois, à
la mauvaise saison, pour tirer des acacias piquets et échalas; cette
activité contribua à tenir ouverts les chemins d'accès
au Puy.
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La
mise en service du nouveau système d'adduction d'eau (début
des années 1950)
Au premier plan, la plateforme du poids public Source: J. Roux - Pour agrandir l'image, cliquez ici |
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Tracteur et pompe à sulfater (fin des années 60) |
La démocratisation de l'automobile,
symbolisée par la légendaire deux chevaux, native du Puy-de-Dôme,
fut précédée par l'essor des moyens de transports
en commun. Pendant les années soixante, aux autobus départementaux
qui facilitaient déjà les déplacements des habitants
du village vers Champeix ou Clermont, s'ajoutèrent des cars ouvriers
qui emmenaient ou ramenaient, trois fois par jour, les travailleurs des
équipes effectuant les 3/8. Les usines Michelin pratiquaient la
journée continue; celle-ci était découpée en
trois tranches de 8 heures correspondant chacune à une équipe
d'ouvriers: celle du matin (de 5 h à 13 h), celle de l'après-midi
(de 13 h à 21 h) et celle de la nuit (de 21 h à 5 h). Les
cars ouvriers, comme les autobus départementaux, étant ouverts
à tous, les Sandoliens eurent à leur disposition des moyens
de voyager abondants et bon marché. Jamais le village ne fut sans
doute aussi bien desservi qu'à cette époque. Du coup, l'exode
vers la ville fut freiné; quelques personnes commencèrent
même à revenir au village, ce qui leur permit, grâce
à la mécanisation, de travailler les terres léguées
par leurs parents, tout en poursuivant en ville une activité salariée
plus rémunératrice et surtout génératrice d'avantages
sociaux; les plus courageux arrondirent leur fin de mois en travaillant
un gros tiers du temps à l'usine, un petit tiers sur leurs terres
et en consacrant le reste du temps au repos. Un peu plus tard, les automobiles,
considérées jusqu'alors comme des objets de luxe, devinrent
abordables. Presque tous les foyers en possédèrent une, quelques-uns
plusieurs. La tendance au retour en fut renforcée. Mais, en même
temps, les moyens de transport en commun, qui perdaient de leur intérêt,
disparurent. La population travaillant en ville prit l'habitude de faire
ses provisions là-bas, ou sur le chemin du retour, dans les grandes
surfaces qui pullulèrent; ce fut un coup dur pour les derniers commerçants
locaux qui perdirent leurs pratiques.
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Hirondelles sur le
départ (août 2005)
Elles sont encore là mais beaucoup moins nombreuses qu'autrefois |
L'exploitation de la carrière ne fut
pas la seule à façonner durablement le paysage. La décharge
publique, située en bordure de la route de Plauzat, à la
Garde, étant devenue insuffisante, elle émigra au Creux
de Loulle, sous la Côte du Telly. On pensait alors que l'importante
dépression qui creusait le sol à cet endroit ne serait pas
comblée de sitôt; on se trompait; elle le fut avant la fin
du siècle; seuls les anciens savent encore que le monticule couvert
d'orties qui longe le chemin, au pied du Puy, sous la croix, était
autrefois une ravine tapissée de rocs; l'accumulation des immondices
en a largement dépassé les bords; le monceau de détritus
déposé là au cours des années, à une
époque où Saint-Sandoux connaissait son plus faible niveau
de population, témoigne de l'ampleur des déchets générés
par la société moderne; il est vrai que, pendant les périodes
de forte production et de mévente, des tonnes de pommes, saines
et calibrées, furent enfouies là, par les agriculteurs indemnisés,
à la demande des autorités. Plus tard, la fermeture de la
nouvelle décharge entraîna l'installation de poubelles et
l'organisation de leur ramassage. Dans un but d'assainissement, une station
d'épuration des eaux fut également construite, sur la route
de Veyre.
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Ce monticule était autrefois un creux profond: celui de Loulle |
Pour faire face aux périodes de pénurie,
mes parents eurent recours pendant plusieurs années à une
"carte", c'est-à-dire
une maisonnette-relais de l'ancien système d'adduction d'eau des
fontaines; un robinet permettait d'y puiser de l'eau de source qui ne tarissait
jamais; hélas, une piscine fut construite en amont, on utilisa les
canalisations existantes comme moyen d'évacuation et l'eau de la
"carte" devint impropre à la consommation! Dès que
le manque d'eau était anticipé, on en stockait alors autant
que l'on pouvait dans les bassines, lessiveuses et autres récipients
disponibles afin d'en avoir au moins assez pour boire, faire la soupe et
se débarbouiller. Heureusement, après avoir tenté
quelques forages sans résultat, les autorités municipales
prirent la sage décision de s'adresser à l'une des grandes
compagnies, la Lyonnaise des Eaux, qui assurait en France la fourniture
de l'eau, à tant d'autres villes et villages, et ce fâcheux
problème, source de mauvaise humeur et de conflits, fut définitivement
résolu.
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Saint-Sandoux vers 1960 avec le poids de ville sur les Forts |
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Saint-Sandoux vers 1970 - Les grands changements sont encore à venir |
Au milieu du siècle, une curiosité
exotique fit son apparition dans le village: une guenon. On pouvait la
voir s'ébattre à la croix du Théron. Cet animal, dont
nous sommes les lointains cousins, s'il faut en croire Darwin et ses émules,
tenait compagnie à un retraité de l'armée qui l'avait
peut-être ramené d'un séjour dans l'un des pays qui
firent naguère partie de l'empire français.
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Le mariage de Marie Stuart - Pour agrandir l'image, cliquez ici | Une autre scène - Pour agrandir l'image, cliquez ici |
Dans la nuit noire, le long de la route, on distingue à peine bannières, statue portée par des jeunes en costume auvergnat, les musiciens, puis la longue file des pèlerins. Les chants s’élèvent, et, au milieu de la nature, c’est le miracle : une chapelle très simple, toute blanche, illuminée de mille chandelles, depuis peut-être huit siècles, est le plus sûr garant de la foi des fidèles. Notre Dame des Prés, aux murs blanchis à la chaux, toute fruste, a été l’objet attentif des soins des jeunes du pays, qui font revivre son culte. Grâce à Claude Arnaud, animateur du « Club du Vieux Maismac », le culte du passé, à Saint-Sandoux, est toujours vivant. Monseigneur de la Chanonie, évêque de Clermont-Ferrand, accompagné de Monseigneur Delavet, du curé doyen de de Saint Amant-Tallende, l’Abbé Dimiglio, des Abbés Nelly et Begon, curés de Champeix et de Saint Sandoux, conduisait la procession, samedi, dans la nuit. Puis c’était le Club du Vieux Maismac, en costumes authentiques, enfin l’Union Musicale, dirigée par son chef, M. Chargé, qui jouait la Saint Michel, la Chorale d’Aubière et les habitants de tous les villages alentour. Mme Bayle-Ilpide, en costume folklorique, accompagnée de ses filles, jouait des chants religieux à l’accordéon et M. André Audigier avait sorti, pour cette grande circonstance, la rarissime croix dites des Templiers, en cristal de roche, du village de Chaynat. On pouvait noter la présence du professeur Gachon, de M Beaucourt, qui organisent une exposition d’art et traditions populaires à Issoire sur le thème de la vie quotidienne en Auvergne, etc. Des feux de Bengale, en signe d’allégresse, éclataient de toutes parts. Chants, musique, et aussi de très vieilles gens qui venaient se recueillir à la chapelle, émus de voir se rehausser une si belle tradition. La procession reprit le chemin de l’église de Saint Sandoux, où Mrg de la Chanonie fit entendre une homélie simple et émouvante. Un vin d’honneur était ensuite présidé, à la salle des fêtes, par Monsieur Mallet, maire de Saint-Sandoux. Dimanche, la messe des paysans. Une très belle tradition aussi, où chacun vient faire bénir son pain et son vin. Tout un village a participé, grâce à la foi de quelques jeunes, au renouveau de la procession à Notre Dame des prés, semblable à une crèche des anciens temps. Le passé forme maintenant un tout avec le présent et s’intègre dans notre vie grâce au « Vieux Maismac » et à ses animateurs. |
Scrutin du 20 septembre 1992 (Maastricht)
Inscrits......: 421
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Scrutin du 29 mai 2005 (Constitution)
Inscrits..: 503
OUI.: 144 - 37,7%
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La sculpture en pierre de Volvic du Club du Vieux Meymac |
Évolution démographique:
La population du village passe de 452 habitants en 1954 à 487 en
1962, 435 en 1968, 398 en 1975 pour remonter à 457 en 1982,
508 en 1990, 603 en 1999 et 713 en 2004. Dans un premier temps, le
déclin est enrayé, malgré la poursuite de l'exode
rural; le regain de natalité qui se constate alors en France n'y
est certainement pas étranger. Dans un second temps, il reprend,
malgré le retour de quelques citadins sur leur lieu de naissance
grâce à l'amélioration des moyens de transports. Dans
un troisième temps, au cours des vingt dernières années
du siècle, un important redressement se produit: le village se transforme
en cité dortoir; la proximité du lieu de travail n'est plus
un critère de choix pertinent à l'époque de l'automobile
pour tous; on privilégie la qualité de vie et la maison individuelle.
A l'orée du 21ème siècle, Saint-Sandoux retrouve à
peu près la population qui était la sienne au lendemain de
la première guerre mondiale; en nombre s'entend, car, pour ce qui
est des origines et des modes de vie, tout a bien changé!
D'après un sociologue contemporain spécialiste de l'urbanisme (Laurent Davezies, "La République et ses territoires, la circulation invisible des richesses", Seuil, 2008), alors qu'en 1960 la richesse d'une région allait de pair avec l'activité économique, aujourd'hui, ces deux facteurs sont découplés: on travaille dans un endroit et on dépense ailleurs. L'activité économique n'est plus un bon indicateur de la richesse d'une région, à preuve Provence-Côte d'Azur, région à faible activité, pourtant très riche, et la Seine Saint-Denis, région à forte activité mais pauvre, avec un taux élevé de personnes au RMI! Saint-Sandoux illustre, à son niveau cette dichotomie: la plupart des Sandoliens ne travaillent plus dans le village, où l'activité économique a fortement chuté en un demi siècle; pourtant, il n'y a jamais eu autant de maisons neuves! En 1990, Saint-Sandoux occupe le 14575ème rang dans la liste des communes françaises classées sur le nombre d'habitants. De 1990 à 1999, son taux de croissance démographique met le village au 3927ème rang. En 1999, 81,2% des habitants sont propriétaires de leur logement, la population active compte 271 personnes, le taux de chômage est de 12,2%, le revenu moyen par ménage de 18691 euros par an. A la fin du 20ème siècle, l'espérance de vie moyenne de la population française atteint 80 ans. Pendant cette période, les maires de Saint-Sandoux sont Antoine Mallet, Marcel Rives, Jean-Marc Juilhard (1971-1998), Pierre Pelux (1998-2008), Jean-Henri Pallanche (2008-...). |
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Dans le ciel au dessus du chemin de la croix (2000) |
Caractéristiques du
site de vol libre du Puy de Saint-Sandoux
Un petit site
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Pourtant, l'accroissement de la population n'empêche pas la Poste de fermer, comme dans beaucoup d'agglomérations rurales, une dizaine d'années après la création du foyer de Ceyran. Rappelons que sa création remontait à la fin du 19ème siècle. Un relais de dépannage est substitué à l'ancien bureau dans la dernière épicerie du village.
Les ouragans qui déferlèrent sur la France fin décembre 1999 n'épargnèrent pas Saint-Sandoux. La vieille maison familiale aux murs épais, assaillie par des vents de plus de 100 km/h, semblait vaciller sur ses assises. Dans le village, des toits furent soulevés; de nombreuses tuiles furent déplacées; la toiture de l'église touchée, des gouttières endommagèrent les murs intérieurs; sur le territoire, des arbres furent couchés, brisés, arrachés, déchiquetés, comme saisis par une poigne solide qui aurait tordu leur tronc; les bois du Puy, ceux qui entourent le château, en porteront longtemps la trace; autour du lac, le paysage était apocalyptique; les arbres abattus s'enchevêtraient et il devint plus difficile de s'y promener qu'avant. On ne remédia pas aisément aux dégâts causés, les artisans compétents ayant plus de travail qu'ils n'en pouvaient accomplir; des réparations de fortune furent directement réalisées par les sinistrés, les plus importantes durent être différées.
Une animation de Météo France
sur ces tempêtes est accessible
ici
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Des explications détaillées
sur ces phénomènes peuvent être trouvées
ici
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Noël 2001
Les traces de la tornade sont encore bien visibles dans les bois du château |
Un jour, en remontant de Plauzat avec mon fils, je lui montrai la Côte du Vigna qui descend sur Saint-Georges; quand je partis pour Paris, elle était tapissée de vignes; durant l'enfance de mon fils, elle était plantée de pommiers et de cerisiers; aujourd'hui, la voici noyée sous l'ondoiement des céréales. La prestigieuse pomiculture de Saint-Sandoux s'est concentrée dans le verger de la promotion de la pomme d'Auvergne, intéressante présentation des variétés, à proximité de la chapelle Notre Dame des Prés. En un demi siècle, nous avons connu tellement de métamorphoses! Que nous réserve l'avenir? Une tentative de réhabilitation du vignoble de Saint-Sandoux ne vient-elle pas d'avoir lieu, non sans succès, semble-t-il? (Voir des échos de la presse locale ici).
Les animaux sont devenus de moins en moins
nombreux; plus personne ne les garde: plus de bergers, plus de pâtres...
Les prairies encore exploitées sont entourées de clôtures
électriques qui interdisent aux promeneurs de folâtrer, comme
autrefois, à travers prés et d'y cueillir des champignons;
ceux-ci d'ailleurs sont plus rares, on l'a déjà dit, en raison
de la quasi disparition du cheptel. Autrefois, des barbelés existaient
bien pour délimiter quelques pacages, mais ils n'étaient
pas systématiques et on les franchissait plus allègrement.
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Les couvreurs réparant le clocher (novembre 2007) |
Le 23 septembre 2001, Jean-Marc Juilhard, natif de Saint-Sandoux, arboriculteur de profession, ancien maire du village, conseiller général du canton de Saint-Amant-Tallende, président de la Communauté de communes des Cheires, fut élu sénateur du Puy-de-Dôme.
Le 27 avril 2007, Nicolas Sarkozy, candidat
à la présidence de la République, qui sera élu,
visita, à 16h45, l'exploitation ovine Cousteix, puis rencontra
des étudiants en BTS de production animale Chemin de la Garde, pas
très loin sans doute de l'endroit où des catholiques en prière
furent appréhendés pendant la Révolution
française.
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Ces enseignes rappellent l'endroit de l'ancienne forge |
En novembre 2007, les habitants du village ont pu voir de hardis compagnons, suspendus à un fil, comme des araignées, se promener sur les pentes glissantes du clocher, au-dessus d'un filet vert de protection. Il s'agissait de couvreurs en train de réparer la toiture et de changer les ardoises hors d'usage.
Pendant l'année 2007, plusieurs activités culturelles se sont développées dans le village. Des animations (veillée poétique, farces et fabliaux, airs d'opéra et mélodies du monde) ont attiré un nombre croissant de spectateurs; une exposition de dessin et peinture s'est tenue; une école de musique a ouvert ses portes; la bibliothèque médiathèque a poursuivi son développement; une compagnie théâtrale, "Les Gemmes", s'est installée dans le village; une nouvelle association "Alfred de Musée", a été créée par de jeunes artistes, et les anciennes (le Club du vieux Maismac notamment) ont continué de se manifester.
En 2008, de nouvelles manifestations culturelles
ont eu lieu, notamment des lectures avec participation des auteurs et des
expositions artistiques. En octobre de la même année, un Conseil
municipal des enfants de l'école a été élu
pour formuler des projets et apprendre à participer à la
vie locale.
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Des vestige relatifs à l'ancien lavoir? |
Le 17 septembre 2011, à l'occasion des journées du patrimoine, la tour des Forts restaurée est inaugurée en présence du député Giscard d'Estaing, du président du Conseil Général et de nombreuses autres personnalités. Cette cérémonie s'accompagne de diverses manifestations dont une visite commentée du village agrémentée de musique médiévale et la représentation théâtrale consacrée à l'histoire de la tour et à une légende du village (voir un article de presse ici et un diaporama de la visite du village ici). Elle se termine par un feu d'artifice.
Dans le courant de l'année 2012, la rénovation du village se poursuit et la place prend son aspect définitif, au moins pour les prochaines années (voir ici).
En 2013, lors d'une promenade sur le Puy, nous apercevons un canard sauvage sur le lac (voir ici).
Le samedi 30 mai 2015, les plaques des fontaines du village sont inaugurées (voir ici).
Le 23 octobre 2015, en soirée, Mathieu Lescuyer, Conservateur en chef du département des manuscrits de la BNF, docteur en paléographie, donne une conférence très intéressante sur Saint-Sandoux au Moyen Âge, organisée par le Club du Vieux-Maismac, l'Association de Défense du Patrimoine et la Mairie. A cette occasion a été exposé un carton de tapisserie de Georges Sarre représentant Saint-Sandoux en 1450.
Le 23 mars 2018, vers 13h30, au cours d'un
violent orage, la foudre s'abat sur la croix du Puy de Saint-Sandoux qu'elle
pulvérise. De lourds débris ont été projetés
alentour et le sol est labouré par endroits. Peu de temps avant,
des randonneurs se reposaient au pied de la croix (voir
une vidéo des dégâts
ici).
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Superficie: 984 ha
Altitude...: 430 / 848 m Coordonnées: Longitude: 3° 06' 29'' E Latitude...: 45° 38' 26'' N |
Région..............: Auvergne
Département....: Puy de Dôme (63) Arrondissement: Clermont-Ferrand Canton..............: Saint-Amant-Tallende (depuis 2015: Orcines) |
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Saint-Sandoux vu d'un satellite - Source: Google Earth |